Mes mots vérité...
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Mes mots vérité...
J'aime lorsque la nuit bien avancée ferme tout doucement mes paupières...
J'aime l'instant où le cerveau presque déconnecté laisse monter la matière, la substance, le substrat.
Alors tombent les mots, ceux que l'on attendait plus. De ceux qui ne racontent pas d'histoires, qui ne sont jamais dits, mais que l'on écoute tout doucement avec pudeur.
Mots musiques, mots magiques en gerbes, en étincelles, en faibles lueurs tenues, tremblantes...
Mots sans langue... Âge de vérité, du bout des yeux, d'un sourire fugace.
Il y avait des mains qui s'offraient, la joie qui irradiait, les larmes qui coulaient... Mais rien ! Le silence ou de faibles cris, de joie, de peur, de peine.
Et les soupirs heureux...
Rien pour trahir, rien pour masquer, rien pour enjoliver, induire en erreur ou abuser.
Alors lorsque doucement s'avance la nuit, du bout des doigts tombent mes mots vérité !
J'aime l'instant où le cerveau presque déconnecté laisse monter la matière, la substance, le substrat.
Alors tombent les mots, ceux que l'on attendait plus. De ceux qui ne racontent pas d'histoires, qui ne sont jamais dits, mais que l'on écoute tout doucement avec pudeur.
Mots musiques, mots magiques en gerbes, en étincelles, en faibles lueurs tenues, tremblantes...
Mots sans langue... Âge de vérité, du bout des yeux, d'un sourire fugace.
Il y avait des mains qui s'offraient, la joie qui irradiait, les larmes qui coulaient... Mais rien ! Le silence ou de faibles cris, de joie, de peur, de peine.
Et les soupirs heureux...
Rien pour trahir, rien pour masquer, rien pour enjoliver, induire en erreur ou abuser.
Alors lorsque doucement s'avance la nuit, du bout des doigts tombent mes mots vérité !
Invité- Invité
Encore des mots ...
Il y a mes mains, mes mains douceur, mes mains chaleur...
Mes mains à retenir mes mots, mes mots qui roulent mes mots qui coulent...
Puis il y a mes mots ricochets, à rider la surface de tes certitudes, à faire des ronds remous sur le lac immobile de ta vie réglée...
Réglée à tempérement, comme cela par décade...
Décade à grandir, puis celle à mûrir, et puis encore une pour espérer...
Et puis attendre...
Attendre celle à vieillir
Repoussant celle à souffrir
Et puis celle du grand silence !
Et puis mes mains qui s'ouvrent, volent mes mots dans l'éther, comme une pluie d'étoiles qui monte, qui monte, qui monte... Vers toi !
Toi qui ne croyais plus sinon dans les autres,
Toi qui n'espérais plus sinon pour les autres
Viens ! Marche, marche debout là, à côté de moi !
Tu le peux, oui !
La terre soulève les pieds quand ils vont par quatre ...
Mes mains à retenir mes mots, mes mots qui roulent mes mots qui coulent...
Puis il y a mes mots ricochets, à rider la surface de tes certitudes, à faire des ronds remous sur le lac immobile de ta vie réglée...
Réglée à tempérement, comme cela par décade...
Décade à grandir, puis celle à mûrir, et puis encore une pour espérer...
Et puis attendre...
Attendre celle à vieillir
Repoussant celle à souffrir
Et puis celle du grand silence !
Et puis mes mains qui s'ouvrent, volent mes mots dans l'éther, comme une pluie d'étoiles qui monte, qui monte, qui monte... Vers toi !
Toi qui ne croyais plus sinon dans les autres,
Toi qui n'espérais plus sinon pour les autres
Viens ! Marche, marche debout là, à côté de moi !
Tu le peux, oui !
La terre soulève les pieds quand ils vont par quatre ...
Invité- Invité
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