L'Amour en Thé
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L'Amour en Thé
.Histoire de thé
Un petit retour en arrière, nous sommes en 2737 avant JC... Et la caravane passait déjà !
L’empereur Chinois « Chen Nung » s’assoupit à l’ombre d’un théier sauvage, il avait abandonné le chêne à cause des glands ! Une brise légère mais tenace amène quelques feuilles dans sa tasse et au réveil il découvre ce merveilleux breuvage. C’est le début de sa mise en culture.
Il suit tout d’abord la route des caravanes malgré le cri... De Jésus.
C’est la Mongolie, le Tibet, le Moyen-Orient puis la Russie. C’est ainsi que les bateliers de la Volga organisent des Wodka’ Tea très chaudes, il est curieux de réaliser ainsi l’origine de nos « surprises par tea », d’ailleurs « la boum » n’est que le triste souvenir d’une wodka’tea qui se termina par le fond et déclencha l’explosion d’une cargaison de dynamite.
Encore une fois c’est à la cour du roi soleil que l’on découvre le thé, Madame de Sévigné en fait état dans une de ses lettres et souligne le fait que les Français y ajoutent un nuage de lait... Et oui, pâturages et labourages....
Les plus grands producteurs de thé sont la Chine, l’Inde, le Sri Lanka, mais aussi Taïwan l’Indonésie et le Japon... Le Japon où un moine (oui encore un) fit connaître le thé au IV siècle. Il le cultive au pied de la montagne sacrée d’Hirizan. Dans ce pays le thé, plus qu’un breuvage est une philosophie, une cérémonie transmise de génération en génération.
Le « cha-no-yu » est un moment de grande convivialité, les gestes sont mesurés, les saluts mutuels, on se déplace sur les genoux... Pendant quatre heures ! On reste rêveur quand on pense à nos pauvres « cinq à sept » ! C’est beaucoup plus parlant mais combien moins poétique que le « cha-no-yu » le nom est déjà une caresse. Bref le « cinq à sept » est au « cha-no-yu » ce que Macdo est à la gastronomie Française !
Impossible de parler de thé sans évoquer nos amis Anglais qui en consomment à longueur de journée, mais bon.... Faut voir avec quoi : des sandwichs au concombre, du poisson, des œufs brouillés.
Le « Barine » lui passe sa journée autour d’un samovar et sert le thé dans un verre muni d’un porte verre en métal, il coince un morceau de sucre entre ses dents et le thé s’en imprègne. L’opération se fait dans le plus grand silence !
Imaginez la scène...
Le carreau est au trois quarts givré, la steppe est blanche, la bise couche les arbres squelettiques, le samovar fume en grondant.
Soudain dans un nuage de neige le traîneau s’arrête dans la cour, les naseaux des chiens fument, une silhouette s’avance sur le perron. On entend dans le Hall Milanovitch accueillir le visiteur.
Dans l’âtre monte les flammes, une bûche s’écroule... La pièce est sombre, seule une chandelle brûle sur le piano...
Une jeune femme est assise, une mélodie s’élève, on introduit le visiteur...
ARFFF ! J’irai bien le boire moi ce thé !
Je ne sais dans quel était je finirai ce soir, les Marocains considèrent le thé comme « amer comme la mort, sucré comme la vie et doux comme l’amour ».
On va peut-être laisser nos sauvages d’outre-atlantique avec leur consommé lyophilisé, inutile de s’attarder !
Eh oui, le thé comme le monde passe sous la fenêtre du poète pour se faire habiller de rêves !
VioletteSereine, la seule bergère qui ne craint pas une bergerie « hantée » !.
Un petit retour en arrière, nous sommes en 2737 avant JC... Et la caravane passait déjà !
L’empereur Chinois « Chen Nung » s’assoupit à l’ombre d’un théier sauvage, il avait abandonné le chêne à cause des glands ! Une brise légère mais tenace amène quelques feuilles dans sa tasse et au réveil il découvre ce merveilleux breuvage. C’est le début de sa mise en culture.
Il suit tout d’abord la route des caravanes malgré le cri... De Jésus.
C’est la Mongolie, le Tibet, le Moyen-Orient puis la Russie. C’est ainsi que les bateliers de la Volga organisent des Wodka’ Tea très chaudes, il est curieux de réaliser ainsi l’origine de nos « surprises par tea », d’ailleurs « la boum » n’est que le triste souvenir d’une wodka’tea qui se termina par le fond et déclencha l’explosion d’une cargaison de dynamite.
Encore une fois c’est à la cour du roi soleil que l’on découvre le thé, Madame de Sévigné en fait état dans une de ses lettres et souligne le fait que les Français y ajoutent un nuage de lait... Et oui, pâturages et labourages....
Les plus grands producteurs de thé sont la Chine, l’Inde, le Sri Lanka, mais aussi Taïwan l’Indonésie et le Japon... Le Japon où un moine (oui encore un) fit connaître le thé au IV siècle. Il le cultive au pied de la montagne sacrée d’Hirizan. Dans ce pays le thé, plus qu’un breuvage est une philosophie, une cérémonie transmise de génération en génération.
Le « cha-no-yu » est un moment de grande convivialité, les gestes sont mesurés, les saluts mutuels, on se déplace sur les genoux... Pendant quatre heures ! On reste rêveur quand on pense à nos pauvres « cinq à sept » ! C’est beaucoup plus parlant mais combien moins poétique que le « cha-no-yu » le nom est déjà une caresse. Bref le « cinq à sept » est au « cha-no-yu » ce que Macdo est à la gastronomie Française !
Impossible de parler de thé sans évoquer nos amis Anglais qui en consomment à longueur de journée, mais bon.... Faut voir avec quoi : des sandwichs au concombre, du poisson, des œufs brouillés.
Le « Barine » lui passe sa journée autour d’un samovar et sert le thé dans un verre muni d’un porte verre en métal, il coince un morceau de sucre entre ses dents et le thé s’en imprègne. L’opération se fait dans le plus grand silence !
Imaginez la scène...
Le carreau est au trois quarts givré, la steppe est blanche, la bise couche les arbres squelettiques, le samovar fume en grondant.
Soudain dans un nuage de neige le traîneau s’arrête dans la cour, les naseaux des chiens fument, une silhouette s’avance sur le perron. On entend dans le Hall Milanovitch accueillir le visiteur.
Dans l’âtre monte les flammes, une bûche s’écroule... La pièce est sombre, seule une chandelle brûle sur le piano...
Une jeune femme est assise, une mélodie s’élève, on introduit le visiteur...
ARFFF ! J’irai bien le boire moi ce thé !
Je ne sais dans quel était je finirai ce soir, les Marocains considèrent le thé comme « amer comme la mort, sucré comme la vie et doux comme l’amour ».
On va peut-être laisser nos sauvages d’outre-atlantique avec leur consommé lyophilisé, inutile de s’attarder !
Eh oui, le thé comme le monde passe sous la fenêtre du poète pour se faire habiller de rêves !
VioletteSereine, la seule bergère qui ne craint pas une bergerie « hantée » !.
Invité- Invité
Re: L'Amour en Thé
c'est le grand bordel ton histoire....Sans queue ni thète
kaiou- bavard
- Messages : 333
Date d'inscription : 03/05/2011
Re: L'Amour en Thé
kaiou a écrit:c'est le grand bordel ton histoire....Sans queue ni thète
donc rien n'a changé !
cilaos- bavard
- Messages : 702
Date d'inscription : 03/05/2011
Re: L'Amour en Thé
tu es blonde Mélissandre car ton histoire me fait pensée à une histoire de blonde .
On y comprend rien .
On y comprend rien .
millou- timide
- Messages : 93
Date d'inscription : 04/05/2011
Re: L'Amour en Thé
Y a rien à comprendre c'est de la prose....millou a écrit:tu es blonde Mélissandre car ton histoire me fait pensée à une histoire de blonde .
On y comprend rien .
Invité- Invité
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